Ces méthodes permettent de faire de la recherche en associant le grand public pour la phase de collecte des données. Fabuleux outils citoyens, ce sont de puissants vecteurs d’éducation à l’environnement car chacun peut prendre conscience de la biodiversité qui l’entoure.
Durant plus de trois heures, Benoît Fontaine du MNHN nous a fait un retour d’expérience sur les dispositifs phares français de Vigie-Nature et Vigie-Nature Ecole.
Benoît nous a notamment démontré l’intérêt d’impliquer les citoyens et les scolaires dans la recherche. Le grand public apporte également sa contribution à travers la collecte de données permettant ainsi de suivre les grandes tendances voire influencer les politiques publiques. Il nous a également montré que les données naturalistes ne sont pas forcément l’affaire de spécialistes latinophiles.
Les échanges ont été riches entre les 28 participants d’horizons très divers : DGTM, GEPOG, Asso Muntu Gwiyann, PNRG, SEPANGUY, RN Trésor, CEN Guyane, PAG ou étudiants du BTS GPN de Matiti.
Des projets émergent progressivement. Force est de constater que l’intérêt et la motivation sont déjà là. Une iniative à renouveler...